Stress Psychothérapie Virginie Lefranc Praticienne en psychothérapie Coach de vie Consultante

Du lundi au vendredi, jusqu’au 31 décembre, via Skype, organisation de conférence, de 9 h 30 à 10 h 15 et de 18 h à 18 h 45.

Thème : « Les fêtes de fin d’année, ce qu’elles éveillent en nous ».

Coût 25 €/personne. Vous n’avez pas skype, un entretien téléphonique en individuel est possible, tout comme pour les personnes qui ne souhaitent pas s’exprimer en groupe. Les personnes intéressées peuvent se faire connaître en me contactant, au numéro figurant sur mon site et en me laissant leurs coordonnées.

Me préciser également le créneau souhaité.

Les fêtes de fin d’année, apparaissent souvent au regard de l’extérieur, comme un moment de joie, de partage, de rencontre familiale, mais quand est-il à l’intérieur de nous-mêmes ?

Cette période peut aussi générer, chez certaines personnes, de la nostalgie, de la tristesse, des peurs génératrices de stress, en raison de :

• -  sa situation familiale
• -  son environnement
• -  son mode d’éducation
• -  sa situation professionnelleSituation familiale : Absence d’un ou de proches (séparation, éloignement géographique, deuil…) Conflit familial (mésentente au sein du couple, désaccord avec un parent, un enfant…) Environnement : Absence ou rupture de vie sociale (éloignement de la cellule familiale, handicap, problème de santé, absence de descendance…) Mode d’éducation : période vécue dans l’enfance, dans l’adolescence comme souffrante, sans joie, contraignante… Situation professionnelle : absence d’emploi, emploi précaire L’ensemble de ces facteurs peut faire des fêtes, une période de fin d’année stressante, génératrice de conflits intérieurs. Nous sommes en dualité interne entre nos obligations ou ce que nous croyons être nos obligations et notre ressenti. Le stress peut être antérieur aux fêtes, mais aussi apparaître postérieurement. Il est important d’avoir conscience que les fêtes de fin d’année sont reliés un moment familial. Elles sont évocatrice de souvenirs, de rappel de certaines situations, elles ne sont pas anodines, « elles nous remuent à l’intérieur ». Nous pouvons être en dualité entre ce que nous ressentons et ce que nous nous sentons devoir faire ou être au regard de nos enfants, nos proches, de la société. Elles peuvent réveiller ou rappeler certaines blessures, dévalorisation de soi, sentiment d’infériorité, d’incompréhension, de ne pas pouvoir être soi, de devoir faire plaisir à l’autre, de ne pas se sentir à sa place. Elles peuvent être le moment d’expression de chose tue jusque ce jour, un moment de refoulement par absence de possibilité de s’exprimer, etc… Le stress est une réaction normale de notre organise face à cette situation. Si nous avons les solutions pour y faire face, le corps retrouve son équilibre, nous nous épanouissons, malgré ce qui nous apparaît comme un passage difficile. Si nous avons du mal à trouver des solutions, nous créons une phase de résistance ou d’adaptation. Nous élevons notre seuil de tolérance face à la douleur et nous augmentons notre endurance. Nous essayons de maintenir un équilibre mais bien souvent avec souffrance et culpabilité. Si aucune solution n’est trouvée durant cette période de résistance, nous créons également une situation de fatigue intense, voire de maladie. Il est souvent constaté que les fêtes de fin d’années sont épuisantes et génératrices de maladie (rhume, angine, grippe, crise de foie, souvent mises sur le compte de coucher tardif et de repas plus abondant.