Qu’est-ce que la Conscience ? Qui sommes-nous ?

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Qu’est-ce que la Conscience ? Qui sommes-nous ?

La réponse à ces deux questions est identique, nous sommes la Conscience, consciente d’elle-même.

Mais à l’école, on nous a appris que le cerveau était ce qui commandait le corps physique. Par contre, pour ceux d’entre nous qui ont suivi une instruction religieuse, on nous a dit que nous étions une créature de Dieu.

Pour ce qui est de la conscience, dans un cas comme dans l’autre, on ne nous en a rien dit de plus, si ce n’est qu’il vaut mieux avoir bonne conscience que mauvaise.

C’est étrange !

Parce que chacun d’entre nous étant conscient, nous devrions pouvoir répondre facilement à cette question.

Alors, que se passe-t-il ?

Quand un être vient au monde, cet être que nous appelons un enfant se trouve sous la protection de ses parents et ne peut survivre sans leur attention. Il est alors dépendant et en attente de ce que ses parents et éducateurs vont lui apporter. Si ces derniers sont imprégnés d’un savoir que leurs propres éducateurs leurs ont enseigné, ils relayeront l’information sans "broncher", et ceci depuis plusieurs générations. C’est ainsi que les traditions se transmettent.

Quand il s’agit de la conscience et de notre véritable nature, les éducateurs qui ne sont pas eux-mêmes à la pointe du sujet, transmettront les fausses données qu’ils ont reçues. Et plus il y a de monde qui relaient une fausse donnée, plus cette donnée apparait comme exacte. C’est la pensée unique avec tout ce qu’elle a d’invalidant.

C’est étrange !

Alors que se passe-t-il ?

En dehors du fait que ce mécanisme se poursuit depuis la nuit des temps, nous pouvons observer que l’enfant recherche avant tout l’amour de ses parents et de ses éducateurs. Si ces derniers découvrent que l’enfant remet en question ce qu’ils enseignent et croient bien pour l’enfant, ils seront déstabilisés dans leur rôle. L’enfant qui ressent mais n’est pas encore capable d’analyser, interprétera le doute et le mécontentement de ses éducateurs comme une menace concernant sa propre survie. Il sera alors tenté de comprendre : quand je suis d’accord avec papa et maman, ils m’aiment, quand je ne suis pas d’accord, ils ne m’aiment plus.

Cette croyance devient souvent insupportable à l’adolescence, et l’enfant qui a grandi, n’en pouvant plus, se révolte contre ceux qui l’ont induit en erreur. Mais la société les rattrape au fur et à mesure qu’ils continuent de grandir car il faut se faire aimer de la société ou accepter d’être rejeté. C’est le prix à payer si l’on veut trouver une place en vue parmi ses semblables. Adopter le système de croyances accepté par le plus grand nombre, voilà désormais la nouvelle religion.

À l’échelle d’une civilisation, ce type de croyances s’appelle la pensée unique. Et des personnes mal intentionnées, occupant des postes clés, s’appliquent à l’entretenir et à l’implanter plus profondément dans l’inconscient collectif.

Je vous propose la lecture de mon roman "L’Implant", doublé d’un thriller initiatique, une aventure de la conscience à travers le jeu de la vie et les chemins épineux de l’inconscience pour aboutir à la conscience illimitée.

Une malédiction ou un complot infâme : un implant, serait responsable de l’esclavage spirituel de toute une communauté. Une équipe d’archéologue exhume sous la glace du Groenland, les vestiges d’une civilisation qui avait découvert les arcanes de cette conjuration. Dans son testament, elle nous livre ce secret …

"L’Implant", un roman de 450 pages à découvrir et à offrir.

Daniel de St André

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