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L’univers physique est une illusion

Maya terme sanskrit védique signifiant pouvoir de créer. Mâyâ était la mère de Bouddha.

Aujourd’hui, les physiciens découvrent que l’univers physique est vide et que le temps n’existe pas. En cela, ils rejoignent Maya et deviennent métaphysiciens.

Comment travaillent-ils ?

D’un constat de départ aussi évident que logique : le fait d’être conscient permet d’observer l’univers.

S’il n’y avait pas d’observateur conscient, personne ne saurait qu’il voit, entend, touche, sent et goûte l’univers. Le télescope Hubble observe les étoiles. Sait-il qu’il les observe ? Non ! La seule personne qui sait qu’elle observe est le gars qui a mis son œil au bout de la lunette.

Autrement dit, c’est le fait d’observer qui donne vie à la matière, c’est l’esprit qui engendre l’effet d’univers ! Puis-je observer quoique ce soit qui serait en dehors de ma conscience ?

Il est impossible de démontrer que l’univers existe encore quand il n’y a plus personne pour le constater.

Certains diront, mais si, enfermez un objet quelconque dans un coffre blindé et revenez plus tard. Si l’objet est encore là, nous avons la preuve qu’il a continué d’exister pendant qu’il n’y avait plus d’observateur.

Non !

Cette hypothèse que vous émettez n’est pas une preuve, elle est simplement une supposition. Supposer n’est pas scientifique.

Le seul fait sûr est que l’objet est presque identique à celui que vous aviez quitté auparavant, mais il serait possible qu’il ait cessé d’exister pendant que vous étiez absent et que vos croyances en sa matérialité l’ai recrée instantanément quand vous êtes revenu.

Bon, mais quelqu’un pourrait alors remarquer que si l’on disposait une caméra à l’intérieur du coffre fort, on constaterait en visionnant les images, que l’objet a continué d’exister.

Et bien, non !

Les perfectionnements de l’expérience de la double fente, (expérience imaginée par Thomas Young en 1801), ont démontré que si l’on mesurait un photon à l’aide de machines adaptées, caméra ou n’importe quel appareil, celui-ci optait pour le statut d’onde ou de particule. Quand il y a particule, le photon se comporte comme si il était observé, quand il y a onde, il se comporte comme si il savait qu’il n’était pas observé, et ceci, même si on programme à l’avance les moments d’observation à travers une.

En fait, le photon obéit à la conscience qui lui dit, quand je croirais que tu es matière, soit particule, quand je saurais que tu n’es qu’illusion, soit onde.

Donc c’est l’intention d’observer qui crée et recrée l’univers particule-physique en permanence. Maya !...

Et qui a l’intention d’observer à travers un globe oculaire ou une caméra ?

Réponse : la conscience c’est à dire l’observateur !

Alors que se passe-t-il de façon habituelle ?

Nous sommes tellement identifié à ce que nous avons crée que nous sommes persuadés que notre création continue d’exister en notre absence. Si une majorité de personnes pensent que leurs créations persistent en leur absence, ce que l’on appelle un égrégore, toutes ces personnes se confortent mutuellement dans cette croyance erronée.

Finalement, nous créons inconsciemment des effets que nous constatons ensuite. Puis, curieux de comprendre d’où proviennent ces effets, nous tentons de les mesurer et de les reproduire dans un laboratoire ou un accélérateur de particules. Surprenant !

Créer quelque chose, oublier que nous l’avons créé et se demander qui a bien pu créer ça : un dieu, le big-bang, la matière noire, le hasard ?

Voila le dilemme dans lequel la science s’enlise actuellement.

Le domaine conscient n’est pas quelque chose que l’on apprend, on l’est déjà !

Un implant est une création imprimée de force dans l’univers de quelqu’un ou d’une collectivité, une prison illusoire.

Le roman "L’Implant", doublé d’un thriller initiatique, surfe sur ces éléments époustouflants. 

Une malédiction ou un complot infâme : un implant, serait responsable de l’esclavage spirituel de toute une communauté. Une équipe d’archéologue exhume sous la glace du Groenland, les vestiges d’une civilisation qui avait découvert les arcanes de cette conjuration. Dans son testament, elle nous livre ce secret …

"L’Implant", un roman de 450 pages à découvrir et à offrir.

Daniel de St André.

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