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Émotions pleinement vécues ou chroniques 

L’émotion, c’est de l’énergie, mais il y a toutes sortes d’émotions.

Par exemple, la joie, la colère, l’apathie !

Dans une émotion, qu’elle quelle soit, même dans l’apathie, l’énergie est importante, seule la direction de cette énergie change, pour ou contre nous.

Pleinement vécues, les émotions agréables ou désagréables sont comme les vagues à la surface de la mer. Quand le vent se calme, elles rejoignent l’immobilité de leur élément naturel.

Refoulées, les émotions perdurent même après que le vent ait cessé. Elles s’installent alors dans la durée et deviennent chroniques.

L’apathie est généralement le signe d’un échec avéré, reconnu par la personne.

La colère est la crainte d’un échec imminent, contre lequel la personne se révolte.

Concernant l’hostilité, la personne tente de faire échouer les autres pour gagner elle-même.

Dans l’ambition, la personne garde son succès pour elle-même.

Et pour l’amour, la personne additionne les énergies du plus grand nombre de personnes pour que l’être divin en chacun de nous réussisse.

De la pure magie !

Toutes ces émotions peuvent être pleinement vécues ou devenir chroniques si elles ne sont pas acceptées et intégrées. C’est généralement le cas du conditionnement social et du paraitre.

Les émotions sont également communicatives :

En présence d’un sage ou d’un être réalisé, les vibrations d’énergie qu’il dégage nous atteignent, aspirant notre niveau émotionnel vers le sien.

De la pure magie ! 

Chacun souhaiterait rester au niveau d’émotions telles que l’amour, la sérénité, la joie. Mais il arrive que nous réagissions à un incident avec une émotion nous tirant vers le bas.

Bien sûr, ressentir de la tristesse à l’annonce d’un être cher disparu est tout à fait acceptable, mais rester bloqué dans cette émotion pour des années, voir le reste de sa vie …

Pourquoi ?

Nous pouvons observer que cela provient de la non-acceptation. Alors pourquoi certains d’entre nous parviennent à accepter et d’autres non ?

À cause des bagages, ceux que nous trainons avec nous, parfois sans même en avoir conscience.

Comment en finir avec ces bagages ?

En les recyclant !

Et pour cela nous devons comprendre quelle est la nature de ces bagages. Eux aussi sont constitués d’énergie, mais celle-ci-est resté bloquée, quelque part …   C’est cette énergie que nous devons recycler et libérer, pour retrouver tout notre potentiel.

La personne qui a sombré dans l’apathie ne dispose pas de moins d’énergie, mais la quasi-totalité de son énergie travaille contre-elle-même.

Elle se sent vidée !

Alors comment récupérer cette énergie ?

En la recyclant, c'est-à-dire en terminant le cycle qui retient cette énergie :

Nous avions commencé quelque chose dans l’enthousiasme et quelque chose d’autre s’est mis en travers. Nous avons alors abandonné en concluant que ça n’était pas pour nous, que nous ne le méritions pas, etc …

En acceptant de croire cela, nous avons emprisonnée l’énergie dans cette croyance. L’expression populaire dit : j’y ai laissé des plumes !

Quand la pensée positive ne fonctionne pas, la raison réside dans le fait que nous avons refoulé des expériences négatives suite à des cycles inachevés.

Il suffit donc de revoir ce que nous avions laissé de côté, l’examiner avec grand soin et prendre conscience des croyances que nous avions programmées à cet instant, ainsi nous libérons l’énergie utilisée à maintenir ces pensées.

De la pure magie !

De la même façon, nous pouvons observer quel est le niveau émotionnel chronique d’un groupe de personnes ou d’une civilisation. Le niveau émotionnel de notre civilisation actuelle est plutôt bas, proche du défaitisme et de la peur.

Les expressions les plus souvent entendues le reflètent : on est foutus, nos dirigeants sont tous pourris, les mauvaises nouvelles intéressent plus que les bonnes, on n’y peut rien, etc …

Apparemment, plus l’émotion chronique se trouve vers le bas de l’échelle négatif-positif, plus il faudra d’énergie à la personne ou a une civilisation pour remonter vers le haut et recycler l’énergie bloquée.

Et bien, ça n’est pas toujours le cas, et c’est une bonne nouvelle.

Nous avons beaucoup d’exemples de personnes qui ont touché le fond, maladie grave, handicap important, prison, etc …   et qui ont trouvé la force de réaliser une transformation radicale.

Il n’en reste pas moins que l’émotion montre où en est l’entité - personne ou civilisation - et le chemin qu’elle devra accomplir pour retrouver l’amour, qu’elle ait choisi inconsciemment la voie extrême comme frôler la mort, ou une voie plus tranquille …

Où, ces personnes qui expérimentent la voie dure, vont-elles chercher l’énergie nécessaire ?

Nous ne perdons jamais le contact avec notre véritable nature, l’être divin que nous sommes. C’est nous, l’être, qui à un moment dit, ce jeu d’identités est périmé, ça suffit, maintenant, je prends les choses en mains. Dans ce cas là, l’énergie bloquée est récupérée d’un seul coup. Quand on est au fond, impossible de descendre plus bas.

Et nous avons le pire des criminels, dans le couloir de la mort, qui bascule dans l’amour !

De la pure magie !

Le thriller "L’Implant", doublé d’un roman initiatique, surfe sur ces éléments époustouflants. Une malédiction ou un complot infâme : un implant serait responsable des crises de civilisation. Une équipe d’archéologue exhume sous la glace du Groenland, les vestiges d’une civilisation qui avait découvert les arcanes de cette conjuration.

Dans son testament spirituel, elle nous livre ce secret …

"L’Implant", un roman de 450 pages.

Daniel de St André.

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