Catherine Breant, auteure, Kinésiologue, Homéopathe à Verrieres-le-Buisson

Kinésiologie

Ponctuelle ou régulière, l’expérience d'une séance en thérapie psychocorporelle que je pratique s’adresse à toute personne dont les blocages ne lui permettent pas - ou plus - de se remettre en question, de s’adapter et de bénéficier de ses facultés (innées ou acquises).

La restauration physique, émotionnelle et mentale à base d’exercices et de modelages du corps (mouvements et réflexes archaïques, Brain Gym, massage ayurvédique, postures) améliore  et soutient :

- La détente et la vigueur musculaire

- Les capacités d’apprentissage

- L’assumation d’un rôle dans une situation appropriée

- Le comportement adéquat

- Les ressources nécessaires à l’évolution et à la croissance

De cause à effet, le travail en séance favorise les reconnexions cérébrales, le déploiement des potentiels, l’élimination de gestes automatiques obsolètes (tics, contractions), la conscience du corps et sa souplesse.

L’emploi du test musculaire au service de la dimension homéopathique

S'afficher kinésiologue-homéopathe est une démarche qui n'obstrue pas le champ de la médecine mais l'accompagne. Lors, le terme "homéopathe" qui lie la pathologie (pathos) à un principe de similitude (homeo) est inadéquat, celui d'"homéophile" plus exact.

Les remèdes homéopathiques donnent accès à  des informations importantes qui peuvent être d'ordre constitutionnel, réactionnel, comportemental. Ces informations complètent d'autres référentiels employés en kinésiologie. L'étude des Lanthanides est par exemple d'une très grande richesse.

L’agencement de mes référentiels homéopathiques est réalisé à partir d’une vaste banque de données classiques et éprouvées, enrichie du savoir et des expérimentations d’homéopathes français auxquels je suis sensible, tels que Patricia Leroux et Bernard Vial ; ou étrangers comme Peter Fraser (californien), Doug Brown (australien) et Massimo Mangialavori (italien).

Ces référentiels permettent d’accéder à des informations de règnes (minéral, mycélien, végétal, animal et humain) et renseignent sur leurs interactions. En homéopathie, nous savons qu’une personne typée «émotionnelle » en aigu ou de fond est plutôt sensible au règne végétal, celle typée « action/défense » est plutôt sensible au règne animal, celle typée « structure/fonction » est plutôt sensible au règne minéral et celle typée « immunité/vitalité » est plutôt sensible au règne mycélien. Et toute exception confirme la règle !

Colère à l’œuvre - 606 pages - 52€ - Editions Geuthner, 2015

Essai multidirectionnel en trois parties qui s’inscrit dans une conception méditerranéenne de notre culture européenne, Colère à l’œuvre propose de s’interroger sur l’héritage divin, moteur, chimique et sanguin dont nous sommes issus et garants.

Le point d’orgue de ce livre est le Foie avec pour trame de fond un discours homéopathique et une étude phonologique de nombreux mots, antiques ou récents. A ces trois orientations, se ramifient et s’entremêlent plusieurs domaines :

LA CIVILISATION ETRUSQUE (postulat de départ) pour laquelle la pratique de l’haruspicine régissait le rapport homme/univers (haruspices = prêtres-devins scrutateurs de foies ovins) ;

LE PEUPLE DOGON pour lequel le Foie représente le « Maître de la parole » et la Vésicule Biliaire « la parole elle-même » ;

LA CIVILISATION SUMERIENNE au travers quelques divinités et dont la langue est la plus ancienne connue à ce jour. Celle-ci intègre un langage matrice qui permet la décomposition de mots pour s’enquérir du ou des sens de ses phonèmes archaïques. Certains noms de remèdes homéopathiques et divers mots sont décomposés grâce à ce langage ;

LA COLERE ET SON PRINCIPE D’ETINCELLE qui peut être divin, volcanique, fertile, moteur, informatif ou biliaire. La mélancolie sous-tend la colère et l’enthousiasme créatif est son opposé ;

LA FORME LOSANGIQUE qui engramme des signes archaïques, porteurs originels des valeurs phonétiques, liées au thème du Foie (l’organe, les présages, la justice, la bonne santé, la fertilité, la destruction, la force, l’idée de distance, la spontanéité et la rapidité, le mouvement par rapport aux genoux et des verbes de déplacement). Le rhombe (losange) s’inscrit dans la genèse du corps humain (rhombomères) son souffle, son aspect (certaines rides faciales) et l’expression de l’énergie qui mène au changement ;

L’ELAN DU CORPS EN RELATION avec autrui et l’espace dans lequel il s’exprime (mise en jeu des chaînes musculaires et comportements associés) ainsi que la pratique du massage ayurvédique pour l’entretien de la plasticité.