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On nous présente la crise comme la conséquence de mauvaises pratiques financières et environnementales, mais ce ne sont que les effets désastreux d’un déni d’ordre spirituel.  

L’idée que nous sommes dépendants des énergies fossiles ou renouvelables est liée à la croyance que nous sommes des êtres issus de la matière et destinés à y retourner.

"Car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière". Genèse, verset 3 —19.

La bible ou sa mauvaise traduction a culpabilisé l’humanité entière, et aujourd’hui nous pourrions croire : quand tu auras épuisé la terre, l’eau et l’air, tu deviendras comme un arbre mort. Ce qui se réaliserait si nous continuions de le croire.

Heureusement, ce ne sont que des croyances matérialistes proclamées sous le couvert religieux !...

Notre vraie nature est la conscience. C’est elle qui crée les poussières d’étoiles et elle peut le faire indéfiniment. Ce qui ne veut pas dire que les ressources de notre Terre ou des exoplanètes doivent être pillées.

Bien au contraire !

Si nous réintégrions notre vraie nature, nous pourrions l’utiliser en tant qu’énergie libre infinie et cesser d’utiliser les énergies fossiles ou renouvelables. L’énergie disponible sans limites pour tous, entrainerait la suppression des enjeux financiers et par ricochet, des guerres. La colonisation des exoplanètes n’aurait aucune raison d’être, puisque nous pourrions étendre l’univers à l’infini. La survie du corps physique n’en aurait pas plus, puisque nous sommes des êtres immortels.

Mais pour cela nous devons d’abord nous libérer de nos démons intérieurs. Ce sont eux qui nous empêchent de voir qui nous sommes réellement.

Les programmes politiques basés sur des concepts matérialistes ignorant de notre vraie nature spirituelle, ne peuvent aboutir durablement. Les plus généreux prolongeront la survie de l’espèce, les plus autoritaires engendreront la guerre et la destruction de la planète parce qu’ils reposent sur une croyance erronée : la conscience serait un produit chimique animant les circuits neurologiques du cerveau et du corps.

La réalité est exactement inverse :

La conscience crée l’espace-temps, (y compris le cerveau, le système nerveux et tout le reste …).

Les religions ont échoué, Dieu n’est pas celui que l’on croyait ! Elles aussi reposaient sur une croyance erronée : un principe supérieur auquel l’homme devrait humblement obéir. Rien de tout cela n’existe, sinon dans l’esprit d’une créature perdue dans sa folie et submergée par ses peurs.

L’homme est une forme de la conscience entre mille et mille autres possibles. En tant qu’êtres conscients, nous sommes immortels et infinis. La physique quantique est sur le point d’en apporter les preuves incontestables …

Ainsi, l’état d’esprit politico-religieux programme la perte des civilisations. Elles naissent, se développent et atteignent un cap évolutif critique au moment où elles submergent leur environnement naturel. Parvenue à ce stade, les conditions de leur survie sont compromises.

À ce carrefour, il ne reste que 2 chemins …   opposés !

-Continuer de même.

-Retourner à sa véritable nature.

L’expérience de l’être identifiée à une enveloppe métaphysique est infinie, il n’y a pas de limite à la création.  Sur la Terre, l’être a emprunté un support corporel en suivant la ligne génétique qui descend du règne animal. Cette entreprise l’a mené dans une impasse provisoire, celle du dieu espace-temps …

Combien de civilisations et de cultures perdues, oubliées, avaient choisi le premier chemin, celui de l’habitude soutenue par la peur de l’inconnu ? Elles pensaient que seule la matière existait, ainsi les traces de leur existence, enfouies dans les profondeurs de la planète, agitent le spectre gris et fugace des splendeurs coupables qui les ont vaincues. Un squelette effrité sous des signes gravés sur autant de stèles effondrées, raconte la descente aux enfers que ces peuplades n’ont su éviter.

Un scénario apparemment incontournable …

Non ! Il y a un autre chemin plus sûr. Et en réalité, celui-ci mène droit aux cieux !

Notre véritable nature ne nous a jamais quittés, nous avions juste fermé les yeux, les yeux de l’âme. Et certains d’entre nous, enfoncés dans cette boue engluant leur âme au point qu’elle semble n’avoir jamais existée, s’acharnent à combattre ceux qui tentent de se réveiller. Pour justifier et soutenir leurs croyances infâmes, ils n’hésitent pas à fomenter les pires crimes. Non seulement ils agissent à la surface de notre belle planète, mais surtout depuis un monde désincarné où ils envoûtent les âmes novices.

Le piège spirituel qu’ils referment sur leurs semblables : “l’Implant“ une manipulation diabolique de l’esprit contre la conscience ne devrait laisser, selon eux, aucune alternative à la chute de l’humanité dans leur filets.

Ils ne savent pas qu’il y a le deuxième chemin, celui qui mène droit aux cieux !

Pourrions-nous être l’une de ces civilisations ?

Et nous développer jusqu’à ignorer notre véritable nature, nous entraînerait-il vers un destin funeste ?

Sur plus de 450 pages, le livre: l'implant, vous plongera au sein d’un thriller initiatique, dans une aventure qui défie le temps :

Sous la glace du Groenland, une équipe d’archéologues, Frank Tanghor, sa compagne Anna et son frère Jack, dans le cadre d’études sur le réchauffement climatique, recherche l’une de ces civilisations disparues. Da Meinsten, personnalité excentrique, rêvant de gloire personnelle, les seconde dans cette entreprise.

Leur pugnacité finira par être récompensée :

La mise au jour de vestiges surprenants, va les propulser au sein d’une intrigue prometteuse : à la veille de déjouer la manipulation spirituelle : ”l’implant”, cette civilisation a laissé en héritage pour les générations futures, un message d’espoir !...

Mais son contenu attise les convoitises et les ambitions de personnages bien réels, troubles et influents qui entrevoient un détournement à leur avantage …

Daniel de St André.

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